Paroles de lecteurs – medias

par Gelydrihan

« Cette nouvelle traduction me fait redécouvrir complètement l’univers de Tolkien, en mieux. Un vrai plaisir ! » [Paul]

Nicolas carreau (Europe 1):
« Une nouvelle occasion de découvrir Le Seigneur des Anneaux »
« c’est bien meilleur, elle est plus proche du texte original » (nicolas carreau)

« Je lis #Tolkien en VO depuis longtemps, mais je dois dire que c’est une joie de lire la nouvelle traduction du #SDA par Daniel Lauzon. » [julien]

« Lecture à voix haute de « l’Ombre du passé »… Cette nouvelle traduction révèle aussi ses qualités à l’oral » 🙂 [Cloe]

« à chaque page c’est un véritable plaisir. Je retrouve la poésie et la fluidité de l’oeuvre dans sa langue originale.  »

« Terminé ! Déjà un vrai plaisir de se replonger dans la lecture du Seigneur des anneaux …. Pour ce qui est de la nouvelle traduction, je l’ai trouvée très fluide, la lecture m’a semblé plus simple et plus rythmée, les chansons et les poèmes plus vivants.
Pour tout dire, j’avais fini par sauter les poèmes et chansons dans mes précédentes lectures (honte à moi je sais) et là je me suis régalé en me plongeant dedans.  »
« j’ai particulièrement aimé le nouveau « phrasé » de Sam, plus roots, plus ancré dans la terre (parfois à la limite du cliché mais sans la dépasser à mon sens).
Un grand plaisir donc et j’attends la suite avec impatience. »
(Gwendal)

« Le lecture est chaude legere et aeree. On a l’impression de boire un capuccino avec une belle mousse au coin d’un bon feu de cheminee un soir d’hiver. Ca me plait » (Mairon)

« Je suis en train de lire cette nouvelle traduction. Clairement, c’est pour moi la traduction de référence, et ceci pour au moins trois raisons :
1) L’absence des multiples petites erreurs de la précédente traduction.
2) Le choix d’adapter les poèmes de Tolkien aux vers français plutôt que d’en faire une traduction littérale. (…)
3) Les traductions des noms sont homogènes et agréables, j’ai adopté toute de suite et sans difficulté (et c’était pas gagné !).(…)  »

(…) une fois les premières pages lues, j’ai été entraîné aussitôt, malgré l’heure tardive, dans la lecture des quatre ou cinq chapitres que je voulais prioritairement voir rendus en français. Pour moi, c’est une preuve de la grande qualité du travail de Daniel Lauzon ! » (Mairon)

Aventurine
« La première lecture de la Communauté de l’Anneau fut rude, et j’avais misé beaucoup d’espoirs sur cette nouvelle traduction. Traduction qui m’a enchanté au-delà de mes espérances !
Par où commencer si ce n’est le prologue et les 100 premières pages qui généralement freinent les lecteurs (et qui ne m’ont pas beaucoup aidé la première fois à entrer en Terre du Milieu). Ces premières pages furent un vrai régal. C’est même peu dire à quel point j’ai été enjoué dès le départ. J’ai découvert une écriture fluide et apte à m’emmener loin, très loin dans un autre monde ! Je découvrais Le Comté comme jamais je ne l’avais découvert et j’ai encore plus apprécié ce que je pensais déjà connaître.
Et cet effet de bonheur à la lecture n’a jamais cessé d’être !
J’ai été emmené dans l’aventure de la Fraternité du début à la fin sans qu’il n’y ait un changement de noms, de lieux-dits ou de mots qui me sortent de l’histoire.
Non, c’était aussi simple qu’une barque sur un cours d’eau. Fluide et rythmée.
Parlons des chansons et des poèmes, lesquels, honte à moi, j’avais passé lors de ma première lecture car je n’arrivais pas à en saisir la poésie et le sens. Cette fois-ci j’ai pris plaisir à les lire, à les découvrir, et parfois même à les fredonner. C’était magnifique ! C’était beau !
Ce que j’aimerais dire c’est que la première fois que j’ai lu la Communauté de l’Anneau j’ai été déçue, car je ne trouvais pas là ce que j’avais espéré. Je n’avais pas lu ou vu ce que tant de gens avaient perçu, ça me désolait parce que j’appréciais l’histoire mais je ne pouvais la lire souvent car elle m’avait pris 4 mois de lecture difficile. Et là, c’est comme si ma première lecture ET les films (que j’avais vu en premier) avaient disparu sous l’enchantement de cette traduction. Tout a disparu. En lisant je découvrais l’histoire pour la première fois, j’ai vu les décors avec émerveillement et j’ai suivi la fraternité dans ce long (et non achevé) chemin vers l’Ombre.
Alors, voilà. Je ne sais pas si cet avis exprime réellement ce que j’ai pensé de cette nouvelle traduction, mais je demanderais à tous les hésitant d’au moins essayer. Vous pourriez louper la « lecture » de votre vie ! Comme cela l’a été pour moi…
Pour conclure, j’aimerais dire que plus jamais je ne regarderais le travail d’un traducteur de la même manière. Désormais, lorsque j’aurais un livre en mains je m’intéresserais autant à l’écrivain qu’à son traducteur.
Cette traduction m’a emmené une bonne fois pour toute en Terre du Milieu et pour cela mille fois merci ! Et j’ai hâte de découvrir la suite et les autres ouvrages à paraître ! smile »

Lobiu :
« je me suis retrouvé transporté, en terres du milieu certes mais aussi dans ma chambre d’adolescent, comme lorsque je lisait ce livre pour la première fois. J’ai re-découvert le roman avec un plaisir inégalé depuis cette première fois, cet émoi, ces parfums… La traduction rend la lecture encore plus plaisante et ôte un peu le coté sombre et oppressant qui m’avait impressionné à l’époque mais qui correspond mieux au lecteur que je suis aujourd’hui. Je trouve que les dialogues sont des plus réussis, on entend mieux la musique des voix, toute britannique qu’elle est et la tension ou le drame quand ils sont de la partie. Et j’ai adhéré totalement aux choix de traduction sauf à l’arpenteur qui m’a rendu le personnage plus mysterieux, ce qui ne gène pas mais surtout plus lointain, moins chaleureux… »

John_Carpenter
 » Je viens de finir la lecture de la fraternité de l’anneau.
Et j’y ai pris un plaisir immense.
Pourtant, j’ai hurlé lorsque j’ai appris qu’une nouvelle traduction de cette immense oeuvre allait bientôt être mise en vente. J’ai ri et me suis moqué lorsque j’ai découvert les premiers extraits de cette nouvelle traduction. Je suis un vieux lecteur du Hobbit et du Seigneur des Anneaux. … Après quelques jours, j’ai souhaité en savoir plus sur les raisons de cette nouvelle traduction. Je me suis renseigné, j’ai lu et écouté différents échanges et avis sur ce qui a motivé ce travail. Rassuré, j’ai décidé de sauter le pas et même si je suis encore un peu malheureux de la disparition de certains noms, j’admets avoir pris un plaisir immense
à la lecture de cette nouvelle traduction. Par ces quelques mots, je voulais vous en remercier. »

Ta’veren
« Je viens à mon tour de terminer La fraternité de l’anneau. Je suis un lecteur assidu de Tolkien. J’ai 29 ans et il s’agissait de ma 21ème lecture de cette œuvre, la première avec cette nouvelle traduction. J’ai grandi avec la traduction de Ledoux aussi n’était-ce pas sans une certaine fébrilité que j’ai lu cette nouvelle version.
J’étais rassuré par la lecture du hobbit et des différentes interventions de Daniel Lauzon et Vincent Ferré mais une anxiété sourde subsistait.

Je le relirai l’année prochaine et l’apprécierai certainement davantage car il est probable que je passe moins de temps à m’arrêter sur toute une série de changements. Les noms sont bien trouvés même si il me faudra quelques années pour qu’ils remplacent les anciens dans mon cœur, si tant est qu’ils y parviennent un jour. Les chants et poèmes sont merveilleusement bien rendus mais ce qui m’a frappé c’est que la lecture me semblait plus fluide, allant de soit, notamment en ce qui concerne les descriptions qui, chose surprenante, m’ont semblé mieux rendues, plus claires. Peut-être étais-ce parce que ma lecture était particulièrement attentive et que je m’attardais davantage sur le choix des mots? Je ne sais. Mais certains lieux m’ont semblé plus vivants, plus perceptibles.
Je n’ai pourtant jamais eu de difficultés avec les premiers chapitres, que d’aucuns trouvent ardus, mais j’ai pourtant remarqué qu’ils paraissaient plus… simples, en quelque sorte.
Quelques détails ont provoqué des sourires de contentement, comme le cadeau de Galadriel à Sam. On sent une volonté farouche de coller à l’esprit du texte, que ce soit à cette occasion où dans les registres de langage. Certaines répliques chères à mon cœur demeurent qui plus est identiques ce qui rajoute à mon bonheur.
Pour paraphraser la fin de l’article de Jean-René Major lors de la première parution française du Seigneur des Anneaux :
« Chapeau, M. Lauzon. » « 

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